• Le monde célèbre la journée mondiale de l’environnement le 05 Juin de chaque année. Lancée depuis 1974 par l’ONU, la journée mondiale de l’environnement est devenue une plate-forme mondiale de sensibilisation de toutes les couches sociales en faveur de l’environnement  à travers le monde entier.

Consciente que la sauvegarde  de l’environnement est une question d’importance majeure qui participe au bien-être des populations et au développement durable, WEP-BF mène plusieurs actions afin de développer les bases nécessaires pour non seulement éclairer l’opinion publique et donner aux individus, aux entreprises et aux collectivités le sens de leurs responsabilités en ce qui concerne la sauvegarde de l’environnement, mais aussi et surtout pour qu’ils réfléchissent, discutent et proposent des actions concertées pour faire face aux problèmes environnementaux.

A l’occasion de cette journée historique, WEP-BF invite la population burkinabé à réfléchir à la manière dont nous pouvons changer notre quotidien afin de réduire la pollution atmosphérique. Pour la Présidente de WEP-BF en l’occurrence Zénabou SEGDA,  « il est temps que chacun prenne sa responsabilité pour protéger et améliorer son cadre de vie, à travers une meilleure gestion des déchets, et en plantant utile par exemple, ce qui participe du bien être de tous et est  une condition sine qua non pour contrecarrer l’accélération du réchauffement climatique».

Ensuite, la lutte contre  la pollution nécessite une approche participative sous les angles, économique, politique, institutionnel, social, juridique, technologique et écologique. Il faut envisager des actions fortes étant donné que les discours seuls ne suffisent pas, ils doivent être accompagnés d’actions concrètes sur le terrain. Pour lutter contre la pollution, il faut, par exemple, taxer la pollution, revoir la subvention des combustibles fossiles et promouvoir les énergies renouvelables.

Le service de communication de WEP-BF

Lire la suite ici « Respecter les connaissances traditionnelles et promouvoir la conservation dirigée par les communautés », déclarent des groupes d’Afrique de l’Ouest à l’occasion de la Journée internationale de la forêt

Comment faire pour que le Fonds Vert pour le Climat (FVC) atteigne les personnes à qui elle est destinée, à savoir  les personnes vulnérables? C’est la quintessence des enjeux de l’organisation de la 22e réunion du Conseil d’Administration du FVC tenue du 27 au 29 février 2019 à Songdo en Corée du Sud. 

Créé par les 194 signataires de la Convention-cadre des Nations Unies sur les changements climatiques (CCNUCC) en 2010, le Fonds vert pour le climat des Nations-Unies (FVC), Green Climate Fund (GCF), a pour objectif de réaliser le transfert de fonds des pays les plus avancés à destination des pays les plus vulnérables afin de mettre en place des projets pour combattre les effets du changement. Avec une enveloppe globale de 100 milliards de dollars par an d’ici à 2020, le FVC est le plus grand Fonds au monde dédié pour l’action climatique.

Dans le but de trouver des stratégies pour que le FVC soit bien géré et réponde l’objectif visé à travers sa création, plusieurs acteurs ont participé à la 22e réunion du Conseil d’Administration du GCF organisée du 26 au 28 février 2019, à Songdo en Corée du Sud.
Réfléchissant sur les solutions apportés aux problèmes environnementaux, Zénabou SEGDA, Présidente de WEP-BF et Coordonnatrice Afrique Francophone du groupe de suivi Genre du Fonds Vert pour le Climat, et ses collègues d’Asie, d’Amérique Latine et d’Afrique Anglophone ont mis l’accent sur la nécessité de créer des synergies pour que les fonds dédiés au climat atteignent les groupes les plus vulnérables. « Les femmes et la finance climat, on va y arriver », a indiqué Zénabou SEGDA

                           Le service de communication de WEP-BF

Lancé en janvier 2016,  le projet Switch Africa Green (SAG) avait pour objectif de fournir des appuis techniques basés sur des modes de production et consommation durables aux MPME pour leur permettre de démarrer et de développer des entreprises vertes

Résultats attendus :
100 entreprises formées sur l’efficacité des ressources et la symbiose industrielle;
 80 entreprises appuyées techniquement ,évaluées et soumises au calcul d’impact économique et environnemental et social;

 35 types de déchets ont été recensés et classés dans les catégories suivantes : déchets organiques, déchets métalliques, déchets en bois, déchets plastiques, déchets verts et les déchets électroniques. Les entreprises ont été mises en symbiose pour faciliter les échanges de déchets;

 700 tonnes de déchets non envoyés au dépotoir, c’est-à-dire que ces déchets ont été récupérés puis réutilisés comme matière première;

Enfin, le projet SAG a permis aux entreprises de diversifier leurs activités et de faire des économies substantielles. A cet titre, SAG a permis d’engranger plusieurs millions  de francs CFA.

                                                                                                            Le service de communication de WEP-BF

Du 19 au 22 novembre 2018, Addis Abeba a accueilli le dialogue du Fond Vert Climat. L’ONG Women Environmental Programme Burkina (WEP-BF) qui oeuvre pour un monde où femmes et hommes utilisent ingénieusement la nature pour vivre et se développer a participé du 19 au 22 novembre à l’édition de 2018 à Addis Abéb en Ethiopie.

En effet, soucieuse du bien être de la population et en particulier celui des femmes, WEP-BF a mené plusieurs actions qui ont contribué à l’atténuation de la pollution de l’environnement à travers la réduction des GES, et  permis la valorisation des déchets industriels.

WEP-BF a également mobilisé durablement les femmes leaders et les OSC féminines autour des enjeux des changements climatiques et de la préservation de l’environnement à travers l’information, la sensibilisation, la promotion de solutions innovantes, etc.

En vue d’apporter l’expérience et le savoir faire de WEP-BF en matière de promotion de l’environnement, Zénabou SEGDA, Présidente de WEP-BF a participé au dialogue du Fonds vert pour le climat (GCF) avec les PMA tenu du 19 au 22 novembre 2019 à l’hôtel Intercontinental Addis, à Addis-Abeba, en Éthiopie. Au cours de ce forum, des thématiques liées aux enjeux climatiques ont été abordées et plusieurs questions examinées. Dans ce sens, les participants à ce forum, en l’occurrence la présidente de WEP-BF et ses paires, ont relevé la faible participation des organisations de la société civile. C’est pourquoi, en termes de recommandations, les participants ont insisté sur la nécessité d’impliquer plusieurs parties prenantes comme la NDA, l’existence d’un comité technique national et le regroupement de toutes les parties concernées.

 

                                                                                                             Le service de communication de WEP-BF

Le forum social sur le programme des mines et de l’extractivisme s’est tenu à Johannesburg du 12 au 15 novembre 2018. Les questions sur la géopolitique et l’exploitation minière étaient au menu des débats.

Madame Zénabou SEGDA, Présidente de WEP-BF et par ailleurs  Coordonnatrice Afrique Francophone du groupe de suivi Genre du Fonds Vert pour le Climat, a participé au forum social sur le programme des mines et de l’extractivisme, tenu à Johannesburg du 12 au 15 novembre 2018. Quatre jours durant, la présidente de WEP-BF et les participants venus de plusieurs pays ont mené la réflexion sur les thématiques liées à l’exploitation minière. Au cours de ce forum, la question sur la géopolitique et exploitation minière a été étudiée.

Pour les participants à ce forum, les crises minière, climatique et écologique sont une préoccupation majeure tant pour les pays développés que les pays en voie de développement, car elles menacent dangereusement le développement de la génération actuelle et compromettent l’avenir des générations futures. Face à cette situation, les participants ont convenu de la nécessité de travailler en synergie d’action en vue d’identifier les problèmes clés, partager les luttes et les stratégies et mutualiser les efforts en matière de lutte pour la défense et la promotion de l’environnement. Dans ce sens, Madame Zénabou SEGDA et ses paires ont eu des moments d’échange et de partage autour des thématiques telles que :

1. Ecoféminisme et extractivisme;

2. Conflit, violence et criminalisation de la lutte sociale ;

3. Travail, santé et sécurité ;

4. Les droits de la nature, les visions alternatives du cosmo et les luttes sociales ; (accaparement de terres et droit de dire non et de différentes cosmovisions);

5. Petites entreprises artisanales et grandes sociétés minières: que faire?

6. Crise climatique, transition énergétique, économie verte et extractivisme ;

7. Travailler pour surmonter les tensions entre les intérêts des travailleurs et ceux de la communauté ;

8. Le leadership traditionnel, force de progrès ou instrument de répression et de formation de classe ;

9. Extractivisme et crise écologique, solutions fausses / économie verte ;

10. L’économie bleue – une menace émergente.

                                                                                                                   Le service de communication de WEP-BF

Le forum du partenariat 2018 (EU Partenership 18) s’est tenu les 25 et 26 juin 2018 à Bruxelles. L’objectif de ce forum est de favoriser  un dialogue franc avec les organisations de la société civile et les associations d’autorités locales et renforcer la collaboration de travailler ensemble pour la mise en œuvre de l’Agenda 2030 et des ODD.

Le forum du partenariat 2018 fut un cadre d’échange et de partage d’expériences. Les participants de plusieurs nationalités ont, deux jours durant, partagé leurs réalisations et contribué au débat en échangeant des informations sur des bonnes pratiques.

Dans ce sens, au cours de la première journée, soit le 25 juin, des questions sur la mise en œuvre des partenariats et des ODD ont été discutées. Ce qui a contribué au  renforcement de partenariats à travers des échanges sur les aspects politiques, techniques et financiers de ce partenariat. Avant de clore la première journée, des sessions conjointes ont été organisées en vue de débattre des Accords-Cadres de partenariat, de l’Agenda 2030 et des ODD.

Quant à la journée du 26 juin, des sujets tels que l’opérationnalisation de l’Agenda 2030 et la promotion de l’environnement ont été traités à travers deux plénières.   Deux sessions parallèles ont aussi été organisées dont une sur l’Action climatique.

Paix, sécurité et Développement. WEP/BF a apporté sa contribution à ce forum par voix de sa présidente Zénabou SEGDA.

Le service de communication de WEP-BF

Durant les deux semaines de négociations internationales sur le climat, les ONG françaises présentes proposent un décryptage pour comprendre l’évolution des négociations.

Bilan : Face à l’urgence climatique, les États se dérobent devant leurs responsabilités.

Les ONG du Réseau Action Climat dressent le bilan des deux semaines de négociations, à l’issue de la COP24.
Pour en savoir plus cliquer sur  https://reseauactionclimat.org/reaction-cop24/

Le 22 mars 2017

Women Environmental Programme  Burkina (WEP Burkina) est une Organisation Non Gouvernementale affiliée à WEP NIGERIA.

WEP-BF est une organisation privée à but purement caritatif, non lucratif, non politique, non tribaliste ou ethnique, mais plutôt visant à servir la société. Elle est caractérisée par une gestion locale avec un Conseil d’Administration de six (06) membres. A cela s’ajoutent sept (07) employés qui s’attèlent à son bon fonctionnement.

L’objectif principal est de protéger et de promouvoir l’environnement tout en s’attaquant aux injustices liées au Genre sur les questions relatives à l’environnement, aux droits économiques et sociaux des femmes, etc.

 

Pour connaitre le statut de WEP Burkina cliquer sur Statut WEP Burkina

Pour avoir le récépissé de WEP Burkina cliquer sur  Récépissé WEP Burkina

 

A l’issue de la mise en œuvre du projet SAG dont l’objectif était de fournir des appuis techniques basés sur des modes de production et consommation durables aux MPME pour leur permettre de démarrer et de développer des entreprises vertes, WEP-BF, avec l’appui de ses partenaires a élaboré un guide pour la mise à l’échelle de la symbiose industrielle au Burkina Faso.

La symbiose industrielle est l’association de deux ou plusieurs entreprises industrielles dans laquelle les déchets produits par l’une sont réutilisés par l’autre sous forme de matière première. Ce guide donne des orientations générales pour  l’encadrement de la symbiose industrielle au niveau national et détermine  aussi les moyens nécessaires ainsi que le dispositif de suivi-évaluation et de contrôle indispensables pour la réalisation de la symbiose industrielle au Burkina Faso.

Ce  guide, dont la validation a eu lieu ce jeudi 25-10-2018 avec la contribution des participants de plusieurs ministères, de la Fédération des industries agroalimentaires, partenaire au projet, du groupement des industriels du Burkina, des organisations travaillant dans le domaine de l’environnement, des services techniques municipales, et  des partenaires techniques et financiers, est un outil intersectoriel qui permettra aux entreprises de se lancer dans la symbiose industrielle à travers des échanges de ressources auparavant considérées comme des déchets. Rasmané OUEDRAOGO, Directeur de cabinet du ministre de l’Environnement, de l’Economie Verte et du Changement Climatique (MEEVCC),  a, au nom du ministre, salué cette initiative de WEP-BF qui a formé et soutenu techniquement les entreprises des villes de Ouagadougou et de Bobo Dioulasso  à la pratique de la symbiose industrielle, laquelle contribuera énormément à la transition vers une économie verte et inclusive au Burkina Faso. Il a dit attendre le guide qui certainement contribuera à l’élaboration prochaine de la stratégie de gestion intégrée des déchets. Télécharger Guide de mise à l’’échelle de la symbiose industrielle au Burkina Faso

Le service de communication de  WEP-BF